Le Monde du 24 février 2011 : "A Tobrouk, l'espoir d'une nouvelle Libye"

Et à Baldersheim...

Le Monde du 23 février 2011 : "La diplomatie française bousculée par la révolte arabe"

Et à Sausheim...

"Ebranlée par ses erreurs de jugement sur la révolution tunisienne, la diplomatie française cherche à se reconstruire dans le monde arabe. L'accélération des soulèvements populaires au Moyen-Orient, dans une région où la France pensait jouer un rôle particulier, et les critiques formulées contre la politique extérieure française suscitent de douloureux examens de conscience au Quai d'Orsay. Les fonctionnaires des affaires étrangères n'hésitent plus à mettre en cause la stratégie de l'Elysée et la manière dont l'équipe du président Sarkozy manie l'outil diplomatique, comme en témoigne la tribune du groupe Marly, nom d'un collectif de diplomates, qui nous a été adressée."

Le Monde du 22 février 2011 : "Le huis clos sanglant de la révolte libyenne"

Et à Rimbach-Zell...

"Des centaines de morts en Libye. Kadhafi reste muet, son fils menace."

21 février 2011

Et à Bollwiller...

Le Monde du 20 février 2011 : "Révoltes arabes : répression brutale en Libye, à Bahreïn et au Yémen"

Et à Sausheim...

Le Monde du 19 février 2011 : "La révolte gagne la Libye et Bahreïn"

Et à Rimbach-Zell...

Le Monde du 18 février 2011 : "Les liaisons dangereuses entre la France et la Tunisie de Ben Ali"

Et à Guebwiller...

"Aujourd'hui, la ministre des affaires étrangères, chahutée par les révélations accumulées sur ses liens et ceux de ses parents avec le clan Ben Ali, du nom du président tunisien déchu, en est au stade de la confiance réitérée de Nicolas Sarkozy. Pour combien de temps ?"

Le Monde du 17 février 2011 : "Nicolas Sarkozy insiste sur la nécessité de supprimer l'ISF"

Et à Issenheim...

Le Monde du 16 février 2011 : "Egypte, Tunisie : les nouveaux pouvoirs face à l'impatience sociale"

Et à Mulhouse...

Le Monde du 15 février 2011 : "L'Egypte s'interroge sur les intentions de l'armée"

Et à Issenheim...

"Place Tahrir, au coeur du Caire, quelques milliers d'Egyptiens hésitent encore à se disperser. Fiers d'avoir chassé le président Hosni Moubarak du pouvoir, certains veulent s'assurer que l'armée ne prend les rênes de l'Etat que pour guider le pays vers la démocratie, et non pas pour assurer la survie d'un système politique honni."