Le Monde du 22 mars 2009 : "Un plan pour répondre à l'inquiétude des jeunes"
Dakar
Le Monde du 21 mars 2009 : "Les prévisions de récession s'aggravent, la mobilisation sociale ne faiblit pas"
M'Bour
Le Monde du 20 mars 2009 : "La journée du 19 mars manifeste un climat de tension sociale croissante"
Dakar
Le Monde du 19 mars 2009 : "La journée du 19 mars manifeste un climat de tension sociale croissante"
M'Bour
Le Monde du 18 mars 2009 : "Le gouvernement piégé par le bouclier fiscal"
Foundiougne
Dans le billet de Robert Solé dans Le Monde du mercredi 18 mars 2009 : "Faut-il supprimer le bouclier fiscal, comme le réclame la gauche ? Ou l' "aménager", comme le suggèrent certains parlementaires du centre et de la droite ? Ni l'un ni l'autre, répond le gouvernement : taxer davantage les hauts revenus encouragerait les délocalisations. "Les riches partiront au lieu d'investir, dit Jean-François Copé, le chef des députés UMP. En temps de crise, on a besoin de gens fortunés." Des esprits mal tournés en concluront que, en temps de prospérité, on a besoin de gens pauvres, mais le débat n'est pas là.(...)"
Le Monde du 17 mars 2009 : "Banlieues : les tirs contre la police se multiplient"
Saloum
Le Monde du 15 mars 2009 :
Saloum
Le Monde du 15 mars 2009, Grégoire Allix : "Les villes d'Afrique subsaharienne sont formées aux deux tiers de quartiers informels sans infrastructures ni équipements, où vivent 165 millions d'habitants, selon L'Etat des villes du monde 2008-2009, publié par l'ONU-Habitat. Et ce n'est qu'un début : l'agence onusienne estime que ces cités passeront de 350 millions d'habitants en 2005 à 1,2 milliard en 2050. La moitié de la population de l'Afrique serait alors urbaine, contre 38 % seulement aujourd'hui."
Le Monde du 15 mars 2009 : "Les Français ont peur de s'endetter davantage"
Foundiougne
Dans un article de Raphaëlle Rérolle sur "l'écrivain, dramaturge et poète" Pierre Bourgeade :
"Chaque minute, chaque parcelle du monde pouvait devenir littérature, pour ce grand admirateur de Rimbaud et de Bataille, qui n'a jamais cessé de se considérer comme un écrivain réaliste.
Réaliste signifiait enraciné dans le réel : " Je crois que l'écrivain doit tenter d'approcher la réalité au plus près, jusqu'au point où elle n'est plus que cette mince pellicule, bien plus mince qu'une feuille de papier à cigarette, qui nous sépare de ce qui se trouve, ou ne se trouve pas, de l'autre côté du réel ", déclarait-il en 2003, dans un livre d'entretiens avec Sylvie Martigny et Jean-Hubert Gailliot (L'Objet humain, Gallimard)."
Le Monde du 14 mars 2009 : "Les paradis fiscaux sont contraints à la réforme"
Joal
Le Monde du 13 mars 2009 : "Les profits des groupes du CAC 40"
Joal
Le Monde du 12 mars 2009 :
Foundiougne, Tiaré
éditorial : "Une aumône Juste 25 milliards de dollars. C'est le montant de l'aide d'urgence évaluée par le Fonds monétaire international (FMI) pour secourir vingt-deux pays à bas revenus, la plupart africains, sinistrés par le tsunami financier qui s'est abattu sur la planète. Vingt-cinq milliards de dollars - soit 19,8 milliards d'euros, un peu plus que les 13,9 milliards d'euros de bénéfices de Total en 2008 -, c'est la moitié de l'argent détourné par Madoff, la moitié de l'aide promise chaque année par le G7 des pays riches, jamais honorée depuis 2005, c'est 3,2 % du plan de relance de 787 milliards de dollars de Barack Obama. Autant dire une goutte d'eau. Une aumône." Et on peut relire dans la "Lettre d'Afrique" de Jean-Philippe Rémy dans Le Monde du 6 mars 2009 : "Au moment où la croissance africaine battait son plein, éclataient des émeutes de la faim, portées par la flambée des prix. Au Sénégal, où on commençait à édifier la statue de la Renaissance, le pouvoir a dû se résoudre à subventionner des denrées de base pour éviter de faire face à la colère des affamés. Au Cameroun, il y a un an, des émeutes déclenchées par l'envolée des prix se sont terminées dans le sang. Dans cette période incertaine, une femme est en train de devenir l'héroïne d'un continent. Dambisa Moyo est zambienne, belle, riche, formée à Harvard et à Oxford. Elle a fait l'essentiel de sa carrière dans une grande banque d'affaires. Elle s'emploie désormais à convaincre que l'aide au développement telle qu'on l'a pratiquée jusqu'ici est l'un des fléaux de l'Afrique, accusant les mille milliards versés au continent depuis les indépendances d'avoir finalement entretenu la passivité, la pauvreté, et une foule d'autres effets pervers. Le débat est presque aussi ancien que l'aide elle-même. Mais Dambisa Moyo le renouvelle à sa façon, en proposant, de façon radicalement simple, d'en finir avec toute forme d'aide dans cinq ans. Cet engouement, comme les nouvelles amitiés, survivra-t-il à la crise ?"