Le Monde du 16 octobre 2008 : "Crise financière : la nouvelle révolution américaine"
Strasbourg
Le Monde du 15 octobre 2008 : "J - 20 : Barack Obama accroît son avance"
Paris
Le Monde du 14 octobre 2008 : "Plus de 1 300 milliards d'euros pour sauver les banques en Europe"
Sélestat
13 octobre 2008
Sélestat
Le Monde du 12 octobre 2008 : "La réplique du G7 pour rassurer le monde"
Marseille
Le Monde du 11 octobre 2008 : "Un G7 au chevet de Bourses exsangues"
Marseille
Le Monde du 10 octobre 2008 : "M. Trichet : " Reprenez vos esprits ! ""
Marseille
Le Monde du 9 octobre 2008
Marseille
Pierre Le Hir, à propos des prix Nobel de physique : "Les physiciens le savent aujourd'hui, la nature est asymétrique. Pasteur l'avait déjà énoncé, qui déclarait, au vu de la différenciation de deux molécules miroir sous l'effet de la fermentation : " L'asymétrie, c'est la vie. " C'est si vrai que dans un monde parfaitement symétrique... nous n'existerions pas. Remontons aux tout premiers instants de l'Univers, quelques fractions de seconde après le Big Bang, voilà 13,7 milliards d'années. S'il s'était formé exactement autant de matière que d'antimatière, ces particules et antiparticules auraient dû s'annihiler dans une gerbe d'énergie, et il y aurait aujourd'hui rien plutôt que quelque chose. Pas de galaxies, d'étoiles, de planètes, de vie."
Le Monde 8 octobre 2008
Chatou
Anne Michel et Jean-Pierre Stroobants : "Fortis permet, de fait, à BNP Paribas de porter sa base de dépôts à 600 milliards d'euros (250 milliards d'euros de plus qu'aujourd'hui) et le nombre de ses clients à presque 20,9 millions (5,9 millions de clients supplémentaires). A titre de comparaison, le néerlandais ING et l'allemand Deutsche Bank possèdent respectivement 525 et 460 milliards de dépôts."
Le Monde du 7 octobre 2008 : "Comment protéger les épargnants européens ?"
Paris
Le Monde du 6 octobre
Paris
Interview de Wendelin Wiedeking, président du directoire de Porsche : "La seule question essentielle sur ce sujet, c'est : " Qui va payer ? " Pour les hommes politiques allemands, chaque pays doit être responsable et assumer ses propres problèmes. Chaque pays doit se demander comment protéger ses propres banques. Nous ne sommes pas prêts à prendre une grosse marmite dans laquelle on mettrait des fonds que l'on répartirait équitablement auprès des différents pays. La cohésion entre les différents pays européens n'est pas encore assez grande pour procéder de la sorte. Nous n'avons pas encore suffisamment grandi ensemble."